Un bijou, une histoire: Audrey hepburn et sa trilogie de bagues de fiançailles

Vous savez que chez HOPE, il y a quelque chose chose que l’on aime peut-être encore plus que les bijoux et les diamants: l’histoire de ceux ou celles qui les portent. Aujourd’hui, rendez-vous avec une icône, avec une femme qui était bien plus qu’une “jolie frimousse”. Place à Audrey Hepburn et à l’histoire derrière ses trois bagues de fiançailles.
LA PREMIÈRE BAGUE DE FIANÇAILLES
Remontons quelques décennies et replaçons cette histoire dans son contexte: nous sommes au début des années 50 et la fièvre “Audrey Hepburn” bat son plein à Hollywood. L’actrice détonne au milieu des silhouettes glamour et généreuses des icônes des années 50. La “brindille” (surnom peu révélateur de la flamme qui l’habite) contraste avec les icônes que sont Marilyn Monroe et Ava Gardner. Audrey Hepburn rencontre alors celui qui deviendra son premier mari, Mel Ferrer, un acteur talentueux. Nous sommes en 1954, dans un jardin surplombant le lac de Lucerne, en Suisse. L’acteur lui fait sa demande avec un simple anneau d’éternité: un anneau en or blanc pavé de diamants TAILLE baguettes, symbole de pureté et d’infini, dont l’élégance n’a d’égale que sa simplicité. En guise de “yes”, Audrey lui offre une montre en platine gravée de l’inscription “Mad about the boy”, le titre d’une chanson de Noel Coward.

LES TROIS BAGUES DE FIANÇAILLES RÉUNIES
Mel Ferrer sait que le style Hepburn est déjà entré dans la légende et qu’elle est admirée pour son élégance dans le monde entier. Quelques mois plus tard, il lui remet lors de leur mariage, en plus de son alliance, deux autres bagues de fiançailles: L’une en or rose et l’autre en or jaune, pour qu’elle puisse assortir sa bague de fiançailles à sa tenue. Mais l’histoire raconte qu’Audrey aimait les porter ensemble. Cela donnera lieu à une nouvelle tendance, celle de mixer des bijoux d’ors différents. Ou comment allier simplicité et originalité, douceur et force, tradition et innovation: Audrey sur toute la ligne.

Une histoire comme on les aime chez HOPE: une fiancée parée d’une bague de fiançailles à son image. Car nous, nous sommes convaincus que la bague ne fait pas la femme, mais que la femme fait la bague. Et, dans le cas d’Audrey, qu’elle fait de ses bagues un symbole d’élégance affirmée, sophistiquée, loin du faste et de l’exubérance d’Hollywood, mais pleine de caractère et d’audace.