JOAILLIER DIAMANTAIRE

Hope naît en 2012 d’un projet entre frères et soeurs, Marie & Louis, à Marseille. Amoureux des métiers d’art et de la joaillerie française, ils rêvent de promouvoir le talent des artisans joailliers de leur région, ainsi que de couvrir les femmes et les hommes de trésors au quotidien. L’ADN de Hope ? La créativité, le savoir-faire & la flexibilité. 

Marie Bagnoli, Diamantaire & créatrice

 

Marie Bagnoli est co-fondatrice de Hope & directrice artistique. Passionnée, son énergie enflamme l’atelier. Elle est diplômée du FGA, l’Institut de Gemmologie de Grande Bretagne. Elle est diamantaire mais aussi experte en joaillerie: elle connaît l’atelier dans ses moindres recoins. Elle est non seulement l’oeil de Hope mais aussi ses oreilles: elle est à l’écoute et veille à déceler vos envies dans leurs moindres détails. 

Louis Grimal, Diamantaire & logistique

Louis Grimal est co-fondateur de HOPE et diamantaire. Il rêvait de créer un projet porteur de sens, célébrant les métiers d’art: c’est pourquoi son choix se porte sur la joaillerie française. En effet, la joaillerie associe métiers d’art et technologies de pointe, émotion, recherche du sublime ainsi qu’éthique. Contre la standardisation ambiante, il mise sur une fabrication en interne, entièrement à la main, ainsi que sur la qualité exceptionnelle de ses produits. 

En théorie, le tandem fonctionne comme mentionné ci-dessus. Mais en pratique, il se déploie, ils s’inspire & fusionne. 

L'équipe : L'âme de hope

Ils s’appellent Naticha, Lisa, Harout ou Alice. Ils sont responsable boutique, cheffe d’atelier joaillerie, ou artisan et artisane. Tous sont passés maîtres dans leur domaine, dans l’art du beau geste et de l’écoute attentive. Ils sont passionnés, mais aussi passionnants. Certains d’entre vous les connaisse car l’atelier est situé au coeur de notre boutique à Marseille.

Le diamant Hope: un nom légendaire

Hope fait écho à la fabuleuse épopée d’un diamant inestimable. Fable aussi légendaire que sulfureuse, son histoire reste en partie un mystère. Cette pierre mythique, d’abord perdue pour toujours puis retrouvée, nous raconte que chaque diamant est unique au monde. Elle nous raconte comment la destinée des hommes façonne ce que la nature fait de plus rare et de plus précieux, le diamant. Elle nous murmure qu’ils sont éternels.

En 1668, Louis XIV achète un diamant bleu de 115, 6 carats. Le plus grand diamant bleu connu à ce jour. Baptisé Bleu de France, Louis XV l’incorpore à la somptueuse parure de l’ordre de la toison d’Or. Le diamant est dérobé en 1792 avec les joyaux de la couronne qui pour la plupart n’ont jamais été retrouvés.

Ce n’est qu’en 1812 qu’apparaît en Angleterre un diamant bleu de 45,5 carats d’origine mystérieuse. Le banquier Henry Philip Hope en fait l’acquisition en 1824 et lui donne son nom.

Il sera le premier d’une longue série de propriétaires éclectiques dont les anecdotes font de l’histoire de Hope une véritable saga. Au XIXème siècle, le joaillier Barbot émet l’hypothèse que le diamant Hope a pu être retaillé à partir du Bleu de France. Au XXème, son dernier propriétaire, l’excentrique et passionné bijoutier américain Harry Winston, en fait don à la Smithsonian Institution à Washington. Il l’expédie alors dans un simple papier kraft par la poste.

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